RENCONTRE DU 3ÈME TYPE À AURORA, TEXAS 📆 17 avril 1897

Le 17 avril 1897, à Aurora, une petite ville du Texas, un événement mystérieux a marqué l’histoire locale : selon de nombreux témoignages et un article paru dans le Dallas Morning News du 19 avril 1897, un engin volant non identifié s’est écrasé sur la propriété du juge J.S. Proctor, détruisant son moulin à vent vers 6 heures du matin.

« Je vais essayer de vous raconter ce que je me rappelle de cette histoire d’Aurora, même si, avec le temps, les souvenirs se mélangent un peu… C’était au printemps 1897, un matin d’avril, je crois bien que c’était le 17. J’étais déjà debout quand un vacarme incroyable a secoué tout le village. On aurait dit que le tonnerre était tombé sur la maison du juge Proctor. En sortant, j’ai vu de la fumée monter du côté de son champ, et très vite, des voisins sont arrivés en courant, tout aussi intrigués que moi.

En approchant, on a découvert un spectacle que je n’oublierai jamais. Un engin étrange, pas comme les ballons ou les dirigeables qu’on avait pu voir, mais quelque chose de vraiment bizarre, fait d’un métal qui brillait comme de l’argent, était en morceaux tout autour du moulin à vent du juge. Le moulin, lui, n’était plus qu’un tas de bois éclaté, et le réservoir d’eau avait explosé. Il y avait des débris partout, certains avec des sortes de signes dessus, comme des dessins que personne n’a su lire.

Au milieu de tout ça, on a trouvé un corps… Enfin, ce qu’il en restait. Ce n’était pas un homme d’ici, ça c’est sûr. Il était petit, la peau pâle, habillé de façon étrange. Un officier qui était là, M. Weems, a dit que ça devait être un Martien, ou quelque chose comme ça. On n’a pas trop discuté, on a décidé de l’enterrer dignement au cimetière, comme on l’aurait fait pour n’importe qui. Je me souviens qu’on a mis quelques morceaux de l’engin dans la tombe avec lui, et le reste, on l’a jeté dans le vieux puits près du moulin.

Le lendemain, tout le village ne parlait plus que de ça. Les gens venaient de partout pour voir les débris, ramasser des bouts de métal, essayer de comprendre ce qui s’était passé. Un journaliste du Dallas Morning News est même venu raconter l’histoire dans le journal, ce qui a fait beaucoup parler d’Aurora dans toute la région. Certains disaient que c’était une blague pour qu’on parle de notre village, surtout qu’on n’avait pas eu de chance ces derniers temps : les récoltes perdues, la maladie, le chemin de fer qui nous avait contournés… Peut-être qu’on avait besoin d’un peu de fantaisie, qui sait ?

Aujourd’hui, il y a encore une plaque au cimetière qui rappelle cette histoire, mais la tombe du pilote, elle, n’a plus de pierre. Je ne sais pas si tout s’est vraiment passé comme on l’a raconté, mais ce matin-là, il s’est bien passé quelque chose d’extraordinaire à Aurora. »


Images:
– Image générée par IA (Bing Image Creator)
– Article de journal original décrivant l’incident, par SE Haydon, « Un moulin à vent le démolit », The Dallas Morning News , 19 avril 1897, p. 5. – Wikipédia

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *