Le 27 octobre 1974, Ferdinand Lop s’éteint à Saint-Sébastien-de-Morsent, dans l’Eure. Il a 83 ans. Ce jour-là, disparaît plus qu’un homme, c’est une façon de rire du monde qui s’éteint. Loin de la gloire, il vit ses dernières années dans une pauvreté discrète. Les journaux saluent sa disparition avec une émotion teintée de nostalgie : le Quartier latin perd un pitre sublime, un philosophe farceur qui a fait de l’absurde un art de vivre.
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